À lui de vous faire préférer le train. Raúl Argemí : Patagonia tchou-tchou
Le polar Les morts perdent toujours leurs chaussures , m’avait enchanté. J’y avais découvert les talents de conteur et la fantaisie d’Argemí. Et pourtant, même si la barre était à mon avis placée assez haut, on me disait, de ci, de là, que ce n’était...